Désaveu officiel de la municipalité parisienne

Publié le par Yves-André Samère

Annie De QuelqueChose (en espagnol, Annie d’Algo) vient de se voir appliquer une baffe magistrale, cadeau du tribunal administratif de Paris. En clair, il a fait du petit bois avec son arrêté interdisant la circulation qui utilisait la voie sur berge de la rive droite, dite Voie Georges-Pompidou, à Paris. Motif : le prétexte bidon de faire baisser la pollution atmosphérique dans la capitale est resté une pure illusion. Pas faux, car réduire la pollution au niveau de la Seine a, en réalité, par un simple effet de déplacement, fait augmenter la pollution dans toutes les voies qui dominent la Seine. Mais quand on a une telle haine de la voiture... J’y ajouterais bien l’annulation de l’interdiction de la pose des cadenas sur les ponts, décidée au prix d’un mensonge éhonté sur leur poids qui « menaçait » de faire s’écrouler les ponts dans le fleuve, et le prix qu’a coûté le remplacement des trois cents mètres de parapets métalliques et celui des travaux sur le Pont-au-Double.

La duchesse de Paris, vexée comme un pou et qui n’en est pas à sa première claque, n’admet pas ce camouflet, et a décidé de renouveler son arrêté, qui, évidemment, sera lui aussi anuulé. On rigole, on rigole !... Elle n’en sera que davantage détestée des Parisiens.

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