Journalistes, apprenez à parler l’étranger
Par quel anti-miracle peut-on expliquer que les correspondants français des radio-télévisions s’avèrent incapables de prononcer le nom des villes où pourtant ils résident ? Chaque jour, ils se ridiculisent, avec leurs « Bu et Nozère », leurs « Ça ô Polo », et même leurs « Lone donne » (en réalité, le nom de la capitale britannique se prononce « L’âne deune »). Et ne parlons pas des villes arabes, il ne faut pas trop exiger ! Par exemple, Fès rebaptisée « Faize ».
Ah, qu’il est dur de renoncer à ses (mauvaises) habitudes !