Questionnés, jouez les offensés !

Les sbires de Macron agissent en tout comme les automates qu’ils sont. Et, lorsqu’on leur pose une question gênante, par exemple sur l’imprévoyance de leur patron et de leurs amis politiques, partout visible par l’ensemble des citoyens, ils n’ont qu’une seule réponse, toujours la même, et dont ils ne voient pas en quoi elle les ridiculise : « L’heure n’est pas à la polémique ».

En somme, quand des politiques ne font pas leur travail et qu’on les interroge sur cette carence, ils renvoient la balle dans le camp des questionneurs et jouent les offensés.

Pendant une guerre, c’est un peu la même propagande : nous ne reculons pas, nous nous retirons sur des positions préparées à l’avance. Et voilà comment on se fait ratatiner par l’ennemi.

Macron n’est pas Clemenceau, semble-t-il.