Le charabia au pouvoir
Positivement, je déteste le vocabulaire mis la mode par nos gouvernants, un ramassis d’imbéciles et d’incompétents. Vous avez vu Blanquer, vautré au ministère de l’Éducation nationale, ce pitre qui se ridiculise tous les jours que Dieu fait, en allant faire dans les écoles des démonstrations de gymnastique ou de... marelle ? Pendant que les gosses se fichent de lui dans son dos !
Ces minus (les gouvernants, pas les écoliers railleurs) ont forgé, histoire d’imiter leur patron, des termes aussi stupides que en distanciel ou en présentiel, que les journaleux imitent stérilement, semblant ignorer les mots corrects et qui existent déjà : à distance ou à part pour le premier, en présence de ou en public pour le second (ce ne sont que des suggestions). Il manque en présidentiel.
Bilan : comme les plumitifs qui, au lieu de pointer leurs fautes de vocabulaire et posent des questions à ces crétins, ont adopté les mêmes pratiques langagières histoire de ne pas se singulariser, la France entière, désormais, pratique un charabia pénible qui fait rire de nous nos chers voisins, lesquels nous haïssaient et nous méprisaient déjà pour notre incapacité à vacciner nos populations, qui réagissent assez peu, il faut bien le dire. La France éternelle, comme disait De Gaulle, est loin derrière Israël, l’Italie, le Royaume-Uni, les États-Unis, la Belgique, l’Espagne, et j’en oublie.
Joli bilan !