Fuyons « HPI »
Hier soir, j’ai voulu regarder la série HPI sur TF1, dont on nous a bourré le crâne à longueur de pages dans les magazines.
Eh bien, dès la coupure de publicité, inévitable sur les chaînes commerciales, j’ai éteint mon téléviseur. Je n’en pouvais plus des inepties qu’on nous infligeait. La vedette, Audrey Fleurot, qui pour la première fois jouait les fofolles, n’était en rien convaincante, et faisait regretter les rôles dramatiques auxquels elle était naguère abonnée.
C’était la seule fois où je m’étais branché sur TF1, et je ne suis pas près de recommencer. Tenons-nous en à France 5 et Arte, où on ne se fiche pas du monde avec des sous-produits ne visant que les esprits attardés.