Serrer la main d’Ellroy ?

Publié le par Yves-André Samère

Avant-hier, dans Quotidien, il a été question du dernier roman de James Ellroy, Panique générale. Or, si j’ai lu naguère pas mal de romans d’Ellroy, j’ai cessé de m’intéresser à cet individu, dont j’ai pris en grippe les relents d’extrême-droite qui émanent de lui.

Or, surprise, Ellroy est le SEUL Américain dont j’ai un jour serré la main ! Pas par sympathie, mais parce que lui m’avait tendu la main, et que je suis poli.

Cela se passait à la Fnac-Forum, donc au centre de Paris, où je vis, et où je m’étais rendu afin d’assister à une séance de dédicace de son dernier roman de l’époque, livre que je voulais acheter pour l’offrir à quelqu’un qui m’est cher – livre que, donc, je n’ai jamais lu ! Il l’a dédicacé, mais à un autre prénom, celui du destinataire que j’avais prévu.

Mon sens du sacrifice est bien connu.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

X
X étant le destinataire du livre bien sûr.
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Y
Compris. Ce n’était pas évident. J’avais oublié ma boule de cristal.
X
Un grand merci.
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Y
Pourrais-je savoir pourquoi ?