Disparition annoncée
Je crains fort, d’aujourd’hui à quelque temps, de devoir renoncer à rédiger ici les formidables textes, si bien ciselés, dont le pays tout entier se régale depuis une quinzaine d’années.
En effet, pour me connecter dans ces pages, je dois chaque fois fournir à cet ogre de papier un identifiant et un mot de passe, que je peine de plus en plus à me rappeler. Ma mémoire, apparemment, n’est plus ce qu’elle était ou devrait être. C’est révoltant, je sais.
De profundis...