Dominique Simonot

Publié le par Yves-André Samère

Ce soir, dans son émission 28 minutes, la chaîne Arte avait invité Dominique Simonot, anciennement journaliste au « Canard enchaîné », où elle tenait naguère un billet hebdomadaire sur les audiences judiciaires en France, que bien entendu je lisais.

Je ne connaissais pas Dominique Simonot. Tout au plus lui avais-je envoyé un message qui lui reprochait je ne sais plus quoi, et elle m’avait répondu assez désagréablement. Fin du premier acte.

Il y a quatre ou cinq ans, je me trouvais au siège du « Canard », où, dans le hall du journal, je faisais quelques recherches concernant les archives du journal, quand deux femmes, venues de l’extérieur, y ont fait leur entrée. Je ne sais plus pourquoi, mais l’une des secrétaires mentionna que l’une des deux était justement Dominique Simonot. Mais, attendu que je n’ai pas la mémoire des visages, j’ai oublié aussitôt à quoi ressemblait la journaliste.

Pourtant, dès aujourd’hui, l’ayant vue à la télévision, je n’oublierai plus son visage, et elle m’a inspiré une certaine sympathie, due surtout aux propos qu’elle tenait, qui révélaient une humaniste de qualité, et foncièrement sympathique.

Je vous rappelle que Madame Simonot (photo ICI) a quitté « Le Canard », car elle a été nommée à un poste officiel, Contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, où elle donne un coup de pied dans la politique française sur les prisons, qui ont tout du scandale, et dont on sait bien que les hommes politiques de ce pays se fichent éperdument. Lisez donc « Le Canard enchaîné », vous comprendrez à quel point la France est mal gouvernée.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

D
Oui, elle m'a bien plu aussi. Surtout elle maîtrisait à fond son sujet, claire et sans pathos.
Répondre
Y
Et aucune récrimination. Car elle aurait pu se plaindre de son ministre, qui est son contraire.