Se contredire bêtement

Publié le par Yves-André Samère

Il nous la baille belle, Macron. Quand il avait entamé son premier quinquennat, il avait dit que tout ministre encourant une peine pénale devrait être mis à la porte du gouvernement. Après tout, Hollande n’avait pas hésité à le faire, avec un de ses ministres.

Oui, mais voilà, sous le règne de Macron, c’est le vieux système déjà en vigueur chez ses prédécesseurs : « Les copains et les coquins », comme avait écrit Julien Aubert en avril de cette année dans « Valeurs actuelles », et ce n’était pas précisément une nouveauté. Si bien que Macron a omis de nettoyer son gouvernement de la présence du ministre de la justice, mouillé jusqu’aux sourcils par une affaire véreuse.

Mais par quel tour de magie (noire)  le surnommé Acquitator va-t-il pouvoir justifier son comportement ? À mon avis, il devrait prendre un avocat.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

C
être mis à la poste et rieur
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