Bonnet d’âne pour Stéphane Guillon
« Fabrice [Drouelle, sur France Inter,] réunit un million huit cent cinquante mille-z-auditeurs [...], soit trente-cinq mille-z-auditeurs de plus que RTL, qui arrive deuxième avec seulement un million huit cent seize mille-z-auditeurs. »
Non seulement Stéphane Guillon n’est pas drôle et surjoue la moindre vanne – comme Bernard Guetta, selon lui, souligne la moindre liaison –, mais il ne connaît ni l’arithmétique (vérifiez dans la réplique ci-dessus !), ni la langue française, qui est pourtant son instrument de travail.
Pour s’en dédouaner, et selon le procédé classique, il ouvre le parapluie en traitant de « casse-couilles » les z-auditeurs qui relèvent ses bourdes. Mais ça, tous les chroniqueurs de radio le font, y compris Didier Porte, qui a horreur qu’on remarque ses fautes de français. C’est facile, à la radio, ils ont le dernier mot.