Michael Jackson : mort, donc un brave type ?

Publié le par Yves-André Samère

Alors quoi, ils ont tout oublié ? Ils ont oublié l’énergumène qui, apparaissant à la fenêtre de son hôtel (dans un étage élevé), brandissait son bébé au-dessus du vide pour le montrer à la foule ? Image qui avait indigné le monde entier ? Ils ont oublié la vedette milliardaire qui profitait de sa célébrité et de sa fortune pour mettre des petits garçons dans son lit, puis échappait à la Justice – qui aurait envoyé derrière les barreaux n’importe quel type fauché – en indemnisant les familles des victimes pour qu’elles retirent leur plainte ?

Il faudrait avoir le cran de le dire : un salaud artiste reste un salaud ; un salaud mort reste un salaud. Sinon, que de salauds à réhabiliter !

Ou alors, déclarons que lois et codes sont des mythes périmés, et que rien n’est plus urgent que de rétablir les privilièges.

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