Ce traducteur, quel gland !
Comme je tiens la majorité des traducteurs pour des charlots (surtout ceux qui se chargent des sous-titres de cinéma et de télévision), je n’ai pas été surpris de l’énorme bévue commise ce soir au Grand Journal. Antoine de Caunes y recevait le boxeur Mike Tyson, qui ne s’exprime qu’en anglais. Il y avait donc en coulisses un traducteur.
Extrait du récit fait par Tyson de sa renontre avec Mandela : « Je lui avais demandé de dédicacer mon gland... mon GANT ».
Rires dans le public, sarcasme du cher Antoine à qui rien n’échappe, et Tyson qui ne bronche pas car il n’a pas compris.
Au moins, on sait ce qu’il y aura au Zapping demain.
Quant au traducteur, il va sûrement décrocher une augmentation. De ses heures de liberté.