Hollande n’est plus FUBAR

Comme prévu, la cote de François Hollande est remontée au zénith, ou peu s’en faut, lui qui était FUBAR (voir plus bas). Vive le terrorisme, pas vrai ? S’il n’existait pas, il faudrait l’inventer. Si Hollande avait deux sous de bon sens, il démissionnerait immédiatement de la présidence, pour se représenter dans la foulée. Cette fois, il serait réélu triomphalement, et débarrassé, du coup, de ce pauvre Sarkozy, qui a encore trouvé le moyen de se ridiculiser dimanche en jouant des coudes afin de se retrouver au premier rang des chefs d’État et de gouvernement – alors qu’on l’avait placé au troisième, où, sa taille de géant aidant, il disparaissait totalement. Si vous n’avez pas vu le détail au Petit Journal d’hier soir, l’émission est téléchargeable avec Captvty.Visionnez-la, et marrez-vous sans retenue.

FUBAR ? Rien à voir avec furibard. En réalité, c’est l’acronyme fabriqué avec les initiales de l’expression en anglais fucked up beyond any repair (« foutu au-delà de toute réparation »). On emploie ce terme dans l’armée des États-Unis depuis la Deuxième guerre mondiale. Il est parfois étendu à fucked up beyond all recognition, but unfortunately not dead yet (« foutu au-delà de toute réparation, mais malheureusement pas encore mort »). Ce qui donne FUBAR-BUNDY. J’adore.

Donc, Hollande n’est plus le président Fubar ! Youpi.