Le « faciès » de Jean Sarkozy
L’impertinence vient d’où on ne l’attendait pas. Dans son ardeur à défendre le fils de son patron, Luc Chatel demande publiquement ce qu’on lui reproche, à ce garçon : son nom ? son faciès ?
Son faciès ? Le ministre de l’Éducation nationale insinue que Jean Sarkozy a un « faciès » ? Pourquoi pas une sale gueule ?
Il est bien téméraire, ce Chatel. À moins que, tout simplement, le ministre de l’Éducation nationale possède le Q.I. d’un protozoaire. Ce qui, dans le contexte gouvernemental actuel, n’étonnerait personne.