Les mères zinzins

Publié le par Yves-André Samère

Petite histoire marrante relatée cette semaine par « Le Canard enchaîné » : la mère de Lamartine, elle aussi, était zinzin (il n’y a pas que Liliane). Le jour où son fils écrivit ces vers : « Et le lierre flottant comme un manteau de deuil / Couvre à demi la porte et rampe sur le seuil », elle se scandalisa, car leur maison de Milly ne comportait aucun lierre sur la façade !

Comme elle ne pouvait pas faire rectifier le poème de son cher fiston, ne restait plus qu’à... planter du lierre à l’endroit en question. Ce qu’elle fit.

On se demande ce qu’aurait fait la mère de Cléopâtre pour le nez de sa fille.

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