QUEL « prophète » ?
Ça et là, et surtout dans les pays arabo-musulmans – mais pas seulement, hélas –, on continue de radoter que « Charlie-Hebdo » a insulté le prétendu prophète Mohammed. Ces niais n’ont pas encore compris, et il faudra des siècles pour qu’ils admettent que nul n’est obligé de croire à ces fables bondieusardes, et encore moins de vénérer un personnage aussi douteux. Rappelons à ceux qui ne me lisent pas régulièrement ces quelques détails :
- Mohammed ne savait ni lire ni écrire. Il s’en remettait souvent à son secrétaire pour écrire son livre sacré (sic), et, lorsqu’il avait la goutte à l’imaginative, comme on dit dans Cyrano de Bergerac, c’est ledit secrétaire qui lui suggérait le texte à écrire, et le prophète bidon acquiesçait. Cete anecdote est racontée par les musulmans eux-mêmes, car je ne me permettrais pas de blasphémer. Comme quoi, son Dieu parlait AUSSI au petit personnel ;
- Mohammed était très porté sur les très jeunes filles, sa dernière épouse avait... SIX ANS, et il eut la modération d’attendre qu’elle en ait NEUF avant de lui sauter dessus. Je n’invente rien, c’est dans les hadith (les anecdotes traditionnelles rapportées par les musulmans eux-mêmes, encore une fois) ;
- avant de se rabattre sur les petites filles, Mohammed avait été un peu gigolo, et sa première femme, Khadidja, qui était fort riche, était âgée de quarante ans quand il en avait à peu près la moitié.
Et puis, rien ne prouve que la caricature qui figure sur la première page de l’hebdomadaire maudit était bien cet individu. Attendu qu’il est interdit à tout musulman de dessiner le portrait d’un être humain, et donc de Mohammed lui-même, nul ne peut donc affirmer que le visage ridicule vu sur ces dessins impies est bien celui du personnage nommé. Après, tout, qui nous dit qu’il ne s’agit pas d’Henry VIII, ou de Pierre Brasseur un soir de Mardi-Gras ?