Réchauffement au GIEC

Publié le par Yves-André Samère

Dans son dernier livre L’imposture climatique, Claude Allègre défonce... allègrement le GIEC, lequel, selon lui, est moins une organisation scientifique qu’un faux nez de l’ONU, créé à l’initiative des seuls États-Unis et Royaume-Uni, ou plutôt de leurs citoyens Al Gore et Tony Blair, censés représenter l’écologie religieuse (catholique, en clair). Et il enfonce le clou en rappelant que les membres du GIEC sont loin d’être tous des épées en matière de sciences. Mais faut comprendre : appartenir au clan permet d’obtenir crédits et notoriété, de vivre sur un grand pied (voyages, séjour dans des hôtels de luxe, considération béate du public), et pour finir, de décrocher un Prix Nobel collectif complètement farfelu.

Au passage, Allègre se paye le président du GIEC, un scientifique sans aucune envergure, mais qu’on est allé chercher dans un pays du tiers-monde histoire de faire politiquement correct. Il s’agit d’un Indien, un certain Pachauri, dont Allègre affirme qu’il n’a rien publié depuis dix ans et donc ne contribue que fort peu à l’avancée des sciences.

Pachauri n’a peut-être rien publié dans le domaine scientifique, mais on vient d’apprendre qu’il a publié dans un autre domaine : un roman, selon « Le Figaro » du 11 mars, qui, « entre lutte contre la déforestation et réflexions spitituelles, enchaîne les exploits sexuels ».

Il n’a pas peur que cela réchauffe encore plus la planète ?

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