Roland Dumas flingue DSK
Franchement, je n’en ai rien à faire, de DSK et de ses petits ennuis, qu’il a bien cherchés, peut-être pas forcément à New York, mais partout ailleurs. De toute façon, s’il avait dû représenter le Parti Socialiste à l’élection de l’année prochaine, je serais allé voter comme on va à l’abattoir, ou comme j’ai voté en 2002 pour Chirac et en 2007 pour Ségolène Royal.
Et puis, un ami m’a envoyé un texte extrait de cette source, et qui rapporte quelques propos de Roland Dumas, extraits de son livre Coups et blessures. Certes, je ne suis pas une groupie de cet avocat, mais il note quelque chose d’assez juste, quoique sans le nommer, à propos de DSK et de sa fortune (ou de celle de sa femme). Il écrit ceci : « Au Maroc, contrairement à ce que l’on raconte, le tissu social est très lâche ; les inégalités y sont criantes et la pauvreté choquante, ce qui n’empêche pas de très nombreux hiérarques français d’y posséder de luxueux riads sans se poser de questions sur la réalité sociale qui les entoure. Le syndrome Alliot-Marie n’est pas réservé à la seule Tunisie… »
Je n’y changerais pas une virgule.