Rions avec Martin

Publié le par Yves-André Samère

Bon moment de saine hilarité, ce soir à la télé. Et on le doit à Martin Weill, qui n’est pas coutumier de la gaffe, pourtant, et il fait attention, d’habitude. Mais là, non.

Donc, Martin est à New York, devant les Nations-Unies, et il tente de faire dire, à tous les diplomates qui passent, ce que leur gouvernement ferait si Donald Trump était élu à la présidence des États-Unis. Bien entendu, tous se dérobent, attestant qu’ils ne sont pas habilités à donner leur opinion personnelle. Normal, c’est leur métier. Seuls quelques Français acceptent de desserrer un peu les dents, surtout Jean-Marc Ayrault, notre ministre des Affaires Étrangères, qui accepte de dire que les propos de Trump sur la politique française en matière d’islam ne lui ont pas plu du tout.

Mais voici que se pointe un quidam que le cher Martin ne connaît pas. Il lui pose la même question, et le monsieur, avec un bel accent portugais, se dégonfle comme tous les autres. Et voilà que Martin, l’imprudent, lui demande quelle fonction il occupe dans son pays. Réponse du quidam : « Je suis le président de la République du Portugal ».

Tilt ! Pauvre Martin, pauvre misère, comme chantait Brassens.

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