« Kaboul kitchen » contre les Césars

Publié le par Yves-André Samère

Hier, j’ai achevé de visionner les douze épisodes de Kaboul kitchen, saison 3, et je me suis bien amusé. Scénario, dialogues et interprétation sont excellents, et Stéphane Degroodt, qui a remplacé Gilbert Melki – parti parce qu’il exigeait un cachet trop élevé, qu’il n’a pas obtenu –, joue un petit escroc menteur très amusant. Je vous recommande de télécharger la saison entière. Inutile de venir de ma part.

Les auteurs se sont amusés à donner aux épisodes des titres qui rappellent des films ou d’autres œuvres connues, comme Le tonton flingueur ou Le choix de Sophie. Mais la blague la moins évidente est dans le titre du dernier épisode : Michel vaillant. Non, je ne fais pas de faute, c’est bien vaillant avec une minuscule ! Il ne s’agit pas de Michel Vaillant, le coureur automobile qui est en vedette dans la bande dessinée de Jean Graton (elle paraissait dans « Le Journal de Tintin », édition française), cet adjectif qualifie le comportement du personnage de Michel joué par Degroodt, qui sauve tout le monde à la fin !

J’ai préféré regarder ce feuilleton, plutôt que la soirée des Césars, manifestation qui, non seulement ne m’intéressait en rien (encore de l’Isabelle Huppert, et dans un navet !), mais qui, de plus, était présentée par Jérôme Commandeur, un type que je déteste pour une raison personnelle. Que penser d’un « artiste » qui écorche le nom de l’invité-vedette de la soirée, George Clooney ? Comme tout le monde en France, cet ignare prononce « clou-nez », alors que le nom de l’amateur de café en capsule se dit « clou-nie » ! Ils sont chouettes, ces froggies...

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