Une roue pour un paon

Publié le par Yves-André Samère

On le sentait venir, et sa décision n’a guère surpris : Marcel Campion, celui qui aime tant les homos (lui dit « les pédés », c’est tellement plus affectueux), déclare abandonner le métier, et il commence par tenter de revendre sa grande roue, qui défigurait la Place de la Concorde.

La question qui se pose à présent est celle-ci : qui va acheter la grande roue ?

À mon avis, l’acquéreur est tout trouvé : Macron va l’acheter, même si cela nécessite « un pognon de dingue ». En effet, qui mieux que ce paon pourrait s’accommoder d’une roue ? Surtout de cette taille ?

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