Vers quoi le GIEC tend-il ?
Il y a un fait qu’on ferait bien de prendre en considération : la science n’est PAS au service des gouvernements, et les scientifiques n’ont PAS à se prononcer sur ce qui est bien ou ce qui est mal. Leur rôle est de rechercher ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas.
Or le GIEC ne fait pas de recherches, il tente de séparer le bien du mal, et d’excommunier ceux qui ne croient pas aveuglément au réchauffement climatique généralisé. En d’autres termes, ayant trouvé un coupable, le gaz carbonique, il s’acharne à vouloir prouver que ce gaz est l’ennemi numéro 1 de l’humanité (les médias disent plutôt, et assez bêtement, « de la planète », comme si la Terre souffrait de ce que le gaz carbonique a un peu augmenté durant quelques dizaines d’années, alors qu’il n’est pas le principal gaz intervenant dans l’effet de serre, bien après la vapeur d’eau, et que, au contraire, il est indispensable aux végétaux).
Contentons-nous de remarquer que, ces dernières années, la température de l’atmosphère n’augmente pas, et, stable depuis une trentaine d'années, elle tendrait plutôt à diminuer. Autre remarque, on rabâche, jusqu’à l’obsession et au ridicule, que la banquise du pôle Nord diminue en surface (voir la sempiternelle image de l’ours blanc tout seul sur son morceau de glace, ce qui fait bien gémir les âmes sensibles), et on oublie pudiquement de mentionner qu’en Antarctique, c’est exactement l’inverse : la quantité de glace qui recouvre cet immense continent a augmenté.
Mais les « experts » du GIEC sont surtout experts dans l’art de ne publier que ce qui les arrange. Rappelons, une fois encore, qu’ils sont sous le contrôle des gouvernements. Et donc, que leurs conclusions sont orientées.