Woody était innocent
Depuis le début, j’ai soupçonné que les accusations visant Woody Allen n’étaient rien d’autre d’une forme de vengeance de Mia Farrow, petite actrice sans grand talent, et dont il avait divorcé. Et je ne peux pas m’empêcher de rapporter une vanne supérieurement vacharde d’Ava Gardner, elle-même divorcée de Frank Sinatra, lequel avait lui aussi épousé Mia Farrow en son temps : la chère Ava avait ricané « J’ai toujours pensé que Frank finirait par épouser un garçon ! ».
En somme, le divorce de Woody Allen n’avait servi que de détonateur pour que Mia tente de faire de lui un émule de Violanski. Non mais, qui pourrait imaginer Woody Allen violant une petite fille de sept ans ? Rappelons que la justice de leur pays, par deux fois, a reconnu que Woody était innocent, au contraire du franco-polonais violeur, pour qui les preuves de culpabilité n’ont pas manqué.
Et, soit dit en passant, je profite de cette occasion pour écrire que jamais je n’accepterai de séparer les œuvres de la vie privée de leur auteur. Ce point de vue vaut pour Louis-Ferdinand Céline, personnage abject que son minuscule talent de fabricant roublard ne saurait excuser en rien. Il vaut aussi pour Sartre, qui, avec la complicité de Simone de Beauvoir, avait détruit la vie d’une jeune fille qui les admirait trop.