Hep, taxi !
Réserver un taxi à Paris relève du cauchemar. Et Google ne vous aide en rien, car il est truffé d’indications fausses (numéros non attribués ou périmés). Or j’ai besoin d’un taxi pour demain en début d’après-midi, afin de me rendre à l’Hôpital Cochin, en vue d’y être opéré. Hélas, prendre le métro est exclu, car je serai chargé de mes affaires, dans un sac ! Ce serait peu de choses si la dernière partie de mon trajet à pied, à l’intérieur de l’hôpital, qui est ridiculement étendu, ne frôlait pas le kilomètre.
Je commence à comprendre les Parisiens qui décident de quitter la ville pour aller s’installer en banlieue.
Finalement, être opéré, en comparaison, c’est de la rigolade. Passons : dans vingt-quatre heures, je rirai de tout ça.
(À me battre au téléphone, j’ai tout de même réussi à contacter une compagnie qui loue des taxis. Ce ne sera pas gratuit, bien sûr !)