Une présence pas évidente
Entendu, de la bouche d’un avocat des parties civiles au procès des attentats terroristes, que « la présence de Salah Abdeslam n’était pas évidente ». Ah bon, il s’était donc rendu invisible ? Comme dans L’homme invisible, le roman d’Herbert George Wells ?
Marrant, j’ai toujours cru que, pour être avocat, il fallait posséder un brin de culture. Il faut croire que je me trompais.