Les fautes de français

Publié le par Yves-André Samère

Si vous me lisez avec la fidélité faisant de vous le lecteur idéal, vous vous souvenez peut-être qu’il m’est arrivé de trouver une faute de français dans le Candide de Voltaire. C’était ICI.

Or, aujourd’hui, j’ai déniché une autre faute de français, quoique vénielle, dans le chapitre 3 de Notre-Dame de Paris. On y trouve, au beau milieu d’une de ces phrases interminables qu’affectionnait le Vénérable Victor Hugo, un « etc., etc., etc. » que nul ne se permettrait, attendu qu’on ne doit pas répéter cette abréviation. Et il récidive au chapitre 4, avec un « etc. etc. etc. », sans virgules cette fois.

Car s’il trompait sa femme, il devait bien aussi tromper ses lecteurs.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

S
Cette faute de français est commise sans cesse, il suffit d'écouter la radio. Une autre manie des gens qui parlent pour les auditeurs, est de commencer une phrase par « oui, non ». Je l'ai même entendue doublée ! Une argumentation au début très clair.
Répondre
Y
Beaucoup de manies sont acceptées à la radio. Sans doute parce qu’il n’y a aucun responsable du style des intervenants.