Carré de valets

Publié le par Yves-André Samère

Vraiment, après des années, persister à représenter Bernard Kouchner avec un sac de riz sur l’épaule, c’est manquer d’imagination. Un peu comme si on continuait de prononcer « mitran » pour désigner Mitterrand.

Moi, j’aurais un peu renouvelé le portrait du mari de la célèbre femme de ménage(s) – un journaliste professionnel dirait « dépoussiéré le portrait », histoire de caser une expression très originale. Je l’aurais revêtu d’un gilet rayé, et je lui aurais mis un plumeau dans la main. Ça lui irait très bien.

Avec lui et, en prime, Xavier Bertrand, MAM et Claude Allègre, il peut affronter n’importe qui au poker, Sarkozy. Et sans risque : il a en mains un vrai carré de valets.

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