Arêne Frêche

Publié le par Yves-André Samère

Martine Aubry a exclu Georges Frêche du Parti Socialiste sur des prétextes dont il est facile de vérifier qu’ils sont bidons.

L’histoire des harkis traités de « sous-hommes » a été montée de toutes pièces par un journaliste du « Midi-Libre », journal de Montpellier, qui déteste Frêche, le maire de cette ville. Il suffit de regarder la vidéo de l’incident pour comprendre. Ayant passé sa vie à défendre les harkis, jamais Frêche n’a traité L’ENSEMBLE des harkis de « sous-hommes ». Il a lancé cette apostrophe à DEUX harkis ralliés à l’UMP, ce qui était une aberration de leur part, attendu qu’un parti qui se réclame encore de De Gaulle est l’ennemi naturel de leur communauté. L’affaire a été portée en justice, et le tribunal a disculpé Frêche. J’en ai déjà parlé, je n’y reviens pas.

Quant à l’accusation d’antisémitisme, fondée sur le fait que Frêche a dit que Fabius avait « une tronche pas très catholique », elle est encore plus ridicule, si c’est possible. Ne pas avoir l’air catholique (?), c’est donc l’indice qu’on est juif ?! Là encore, Frêche est le contraire d’un antisémite.

Mais alors, pourquoi l’exclure du P.S. en argüant qu’il ne serait « pas un homme de gauche », comme l’a dit madame Aubry ? Ne serait-ce pas une vieille rancune, fondée sur le fait qu’un 2007, Frêche a publié un livre intitulé Il faut saborder le PS ?

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