Dieu ne parlait qu’en arabe ?

Publié le par Yves-André Samère

Des trois religions monothéistes, toutes fondées sur une prétendue révélation faite aux hommes par Dieu, via un prophète (Mohammed) ou un homme si important qu’il a pu passer pour son fils (Jésus, qui, lui-même, n’a jamais dit qu’il était le fils de Dieu), l’islam est la seule qui reste liée à une langue unique, l’arabe. Les deux autres sont basées sur des textes qui sont, d’une part, écrits, et d’autre part, traduisibles, transposables : nul, en effet, n’a jamais avancé que la Bible était intraduisible, même si certaines traductions ont été contestées. Contestées, pas frappées d’anathème ! Et, quel que soit le pays, ces livres dits « sacrés » sont étudiés dans la langue locale.

Le Coran, lui, est un texte uniquement oral (à l’origine), qui ne se comprend qu’en arabe et ne s’étudie qu’en arabe, de sorte que toutes les traductions du Coran sont contestées par les musulmans et considérées comme de simples tentatives de traductions, voire comme des trahisons du texte. Même dans les pays musulmans non arabophones, dont la population est pourtant majoritaire dans le monde islamique, on ne le lit qu’en arabe.

On se permettra de remarquer que le dieu des musulmans devait être bien fou pour confier sa « révélation » à un homme illettré, qui ne pouvait transmettre ses divines paroles sans qu’elles se trouvent déformées dans une autre langue !

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