Festival d’accusations à retardement

Publié le par Yves-André Samère

Les accusations à retardement sont de plus en plus à la mode. Après Tristane Banon accusant DSK de tentative de viol huit ans après les faits (non prouvés), après Laurent de Villiers, fils de Philippe, accusant son frère de l’avoir violé (il a écrit un livre, qui est paru), voici qu’aux États-Unis, une fille accuse son père de l’avoir battue à coups de ceinture, quand elle avait 17 ans, parce qu’elle avait eu l’audace de télécharger illégalement des fichiers sur Internet. Elle a quelques années de plus, puisqu’elle est adulte. Mais là, elle présente une preuve, une vidéo – que j’ai vue, et qui m’a semblé une excellente alternative à l’Hadopi.

Détail : cette fois, le père coupable est… un juge. Il affirme s’être excusé depuis longtemps, mais ces sales gosses, on les connaît, ça ment comme ça respire. À force de leur seriner qu’on doit « tuer le père »…

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