La lâcheté de Guy Carlier

Publié le par Yves-André Samère

Je n’ai jamais regardé une seule émission de Michel Drucker, ce qui m’autorise à en parler. Je n’ai jamais regardé une seule émission de Michel Drucker, mais j’ai vu un court extrait de celle où, ayant invité Guy Carlier (qui donne un spectacle sur scène jusqu’en décembre), il a offert à ce dernier une tribune où l’ex-peau de vache de France Inter jouait les repentis et prétendait être un méchant professionnellement, mais un « gentil » dans la vie.

Hélas pour Carlier, Jean-Pierre Coffe était présent, et lui a opposé ce qui n’est que la vérité : Carlier n’attaquait ses cibles que lorsqu’elles étaient absentes, et se faisait tout miel lorsqu’il se trouvait en face d’elles. Pour avoir entendu cent fois à la radio ce genre de numéro (et y avoir assisté quand j’étais présent dans le studio du Fou du Roi), je peux évidemment en témoigner. Et l’accusation de lâcheté que lui a jetée Coffe était mille fois justifiée !

L’esprit ne justifie pas tout, et s’attaquer à un plus faible que soi – qui ne peut pas riposter –, ce n’est pas glorieux. Combien de fois Carlier n’a-t-il pas traité de « gourdasse » une pauvre fille qui avait fait un lapsus à la télévision ?

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :