« La pauvreté de Nicolas Sarkozy »

Publié le par Yves-André Samère

Il n’y a pas si longtemps, j’ai dû écrire ici un petit article qui insistait sur la ponctuation et l’ordre des mots dans la phrase, montrant qu’une virgule absente ou mal placée, par exemple, pouvait vous amener à dire le contraire de ce que vous pensiez.

L’ordre des mots également ? Mais oui, et Martin Hirsch, hier au Grand Journal, m’en a donné un exemple qui vient à point. Il a dit qu’il avait été « secrétaire d’État contre la pauvreté de Nicolas Sarkozy ». Tournée ainsi, la phrase semblait signifier qu’il était chargé de lutter contre la pauvreté de Nicolas Sarkozy.

(Induite par sa fraude électorale et l’obligation de régler onze millions de dettes envers l’État ?)

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

Y
Pour être digne d’un don, il faut être une cloche. Donc ça tombe bien.
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D
S'il avait été riche, croyez-vous qu'il aurait été ainsi obligé de faire un pathétique appel au don?<br /> Hein?<br /> Et que toutes les Lilianes seraient ainsi intervenues pour le renflouer tel un paquebot en perdition?<br /> Ou alors, c'est simplement qu'il est digne d'un don.
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