Le Coran enfin (re)traduit
Entendu au Grand Journal de Canal Plus un écrivain musulman, Malek Chebel, qui a dit la seule chose intelligente qu’on ait proférée sur ce plateau depuis le dernier passage de Justin Bieber. Il a en effet déclaré que, s’il avait retraduit le Coran, c’est parce que ce livre sacré vous tombait des mains au bout de trois pages.
Je confirme. En ce moment, j’essaye de lire ce sacré livre, et je n’y arrive pas, c’est encore plus emmerdant que le Salammbô de Gustave Flaubert ou la biographie de Frédéric Chopin par Franz Liszt, les deux bouquins qui m’ont donné le plus de mal – respectivement à quinze et dix-huit ans.
Entre nous soit dit, je doute TRÈS fort que les musulmans qui se réclament du prophète supposé aient tous lu ce monument d’ennui. Et vénérer à ce point un type capable de générer ce fatras d’incohérences absconses et d’affirmations péremptoires et sans preuves, voilà qui me dépasse. Je préfèrerais lire les œuvres complètes de Nabilla, au moins, c’est court.