Le nom (truqué) du GIEC

Publié le par Yves-André Samère

Rions aux éclats en compagnie du GIEC, dont je vous rappelle qu’on lui a collé (bêtement) le Prix Nobel de la Paix, partagé avec cet escroc d’Al Gore. Aujourd’hui, le sketch portera sur... son nom (le nom du GIEC, pas celui d’Al Gore).

Cet organisme a reçu le nom officiel, en anglais, de Intergovernmental Panel on Climate Change, ce qui, traduit rigoureusement en français, devrait donner « Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique », dont le sigle serait ainsi PICC. Rappelons à toutes fins utiles qu’un panel est un groupe de personnes interrogées régulièrement sur leurs opinions, leurs intentions ou leurs attitudes, comme cela se pratique tous les jours dans les sondages. Des PERSONNES, pas des EXPERTS !

Or on a traduit en français par, tenez-vous bien, « Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat ». La manipulation saute aux yeux : les « personnes interrogées » sont devenues des « experts » (au passage, pour la discrétion, on n’a pas retenu la première lettre du mot expert). Un peu comme si, harponné devant le Forum des Halles, comme j’en vois tous les jours, par un sondeur sous-payé qui vous questionne sur la popularité de Jean Dujardin, on vous bombardait expert du cinéma.

C’est flatteur, mais mensonger. Le fameux GIEC n’est PAS composé d’experts, mais de personnes qui adhèrent aux conclusions décidées d’avance par celui qui grenouilla tant et plus pour sa création en novembre 1988, un certain Bert Bolin, très persuadé, mais sans aucune preuve, de l’influence négative de l’homme sur le climat.

Notez que la même manipulation sur le vocabulaire a été faite en espagnol : Grupo Intergubernamental de Expertos sobre el Cambio Climático. Mais ce doit être un pur hasard...

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

Y
Je vois que du côté de Brest et à Polytechnique on a du bon sens et des lectures. En fait, le fond de cette diatribe, c’est ce que j’écris ici depuis des années. J’ai commencé à y réfléchir après<br /> avoir vu en 2006 le film où s’agitait cet escroc d’Al Gore, et qui lui a valu le Prix Nobel de la Paix ! (Ils sont bien, les jurés du Nobel)<br /> <br /> Je ne ferai qu’une réserve : le fait de parler d’un « océan de bêtise [...] tout particulièrement européen ». En réalité, le PICC, alias GIEC, est une création onusienne. Et son créateur, Bert<br /> Bolin, mort en 2007, était un météorologiste suédois, mais très appuyé par des illuminés états-uniens.<br /> <br /> On voit de plus en plus que les thèses qui tentent d’affoler et de culpabiliser les foules sentimentales (comme chantait Souchon) sont battues en brèche par les faits.<br /> <br /> En tout cas, je ne cesserai pas de revenir sur la question, il y a de la matière !
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J
Un peu d’humour dans cet océan de bêtise climatique, mondial et tout particulièrement européen…<br /> <br /> Comme vous le savez, un redoutable virus, delirium carbonum, a frappé les neurones d’un impressionnant nombre de personnes (en respectant toutefois la parité H-F), tout particulièrement à l’ONU,<br /> l’UNEP, l’OMM, l’UE, ainsi que les politiques, les médias et les écologistes radicaux. Seuls de plus en plus de petits gaulois (et des belges, des suisses et des canadiens, …) teigneux, gavés de<br /> potion magique, résistent encore et toujours à ce virus envahisseur.<br /> <br /> Ce virus génère des bouffées délirantes, dont la plus symptomatique est le mythe de la Planète Mère (Terra Mater) qu’il faut sauver des méchants humains (“Sauvons la Planète”).<br /> <br /> D’autres graves symptômes ont été relevés : la conviction que le terrifiant CO2 anthropique a une action réchauffante non maîtrisable et que nous allons tous griller ou nous noyer sous l’eau des<br /> océans qui auront tout submergé (l’enchaînement de ces effets est encore en discussion dans les cénacles GIECquiens)- la croyance aveugle dans les projections des modèles numériques du GIEC – la<br /> confiance totale accordée à cette étrange structure politico-scientifique (plus politique que scientifique) qu’est le GIEC – la totale perte de sens critique, qui fait croire que des hypothèses,<br /> répétées sans cesse par une propagande lyssenkiste, deviennent, comme par magie, des vérités gravées dans le marbre – les accusations de négationnisme pour les impies qui osent soulever des<br /> objections, fussent-elles pertinentes – le refus de prendre en compte les données d’observation qui ne sont pas conformes aux prévisions des modèles numérique (non mais alors, cette Nature, de quel<br /> droit ne se rallie-t-elle pas à nos modèles qui sont par essence parfaits? Il va falloir la mettre au pas!….)<br /> <br /> Ce virus fait fleurir, comme pâquerettes au printemps, une nuée de normes et de règlements contraignants, génère l’apologie et le développement d’un Renouvelable pourtant fort onéreux et<br /> intermittent (donc, selon la loi de Murphy, en plein match de rugby, au moment le plus palpitant, les caprices du vent vont couper notre alimentation en énergie électrique?), tout cela aux frais du<br /> contribuable qui en subit, résigné, les conséquences pécuniaires.<br /> <br /> Il serait temps que soit enfin lancée une vaste campagne mondiale pour traiter et supprimer cette redoutable pandémie! La source du virus, le GIEC, devrait être définitivement supprimée, et les<br /> géniteurs du GIEC, à savoir l’ONU, l’UNEP et l’OMM, devraient faire l’objet d’audits sévères afin de leur rendre, après mise à l’écart des Grand-Prêtres du Dogme du RCA (Réchauffement Climatique<br /> Anthropique), désintoxication et débureaucratisation, une virginité au-dessus de tout soupçon…<br /> <br /> Addendum: la loi de Murphy fonctionne aussi pour le hockey, le football, le tennis, et même (God save the Queen..) le cricket, sport incompréhensible pour les continentaux, et le base-ball (tout<br /> aussi incompréhensible pour les européens…)….
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