Le nom (truqué) du GIEC
Rions aux éclats en compagnie du GIEC, dont je vous rappelle qu’on lui a collé (bêtement) le Prix Nobel de la Paix, partagé avec cet escroc d’Al Gore. Aujourd’hui, le sketch portera sur... son nom (le nom du GIEC, pas celui d’Al Gore).
Cet organisme a reçu le nom officiel, en anglais, de Intergovernmental Panel on Climate Change, ce qui, traduit rigoureusement en français, devrait donner « Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique », dont le sigle serait ainsi PICC. Rappelons à toutes fins utiles qu’un panel est un groupe de personnes interrogées régulièrement sur leurs opinions, leurs intentions ou leurs attitudes, comme cela se pratique tous les jours dans les sondages. Des PERSONNES, pas des EXPERTS !
Or on a traduit en français par, tenez-vous bien, « Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat ». La manipulation saute aux yeux : les « personnes interrogées » sont devenues des « experts » (au passage, pour la discrétion, on n’a pas retenu la première lettre du mot expert). Un peu comme si, harponné devant le Forum des Halles, comme j’en vois tous les jours, par un sondeur sous-payé qui vous questionne sur la popularité de Jean Dujardin, on vous bombardait expert du cinéma.
C’est flatteur, mais mensonger. Le fameux GIEC n’est PAS composé d’experts, mais de personnes qui adhèrent aux conclusions décidées d’avance par celui qui grenouilla tant et plus pour sa création en novembre 1988, un certain Bert Bolin, très persuadé, mais sans aucune preuve, de l’influence négative de l’homme sur le climat.
Notez que la même manipulation sur le vocabulaire a été faite en espagnol : Grupo Intergubernamental de Expertos sobre el Cambio Climático. Mais ce doit être un pur hasard...