Une fessée pour Ségolène ?
En novembre 2009, Aurélie Filippetti, aujourd’hui ministre de la Culture et de la Communication, a commenté ainsi le fait que Ségolène Royal se soit imposée à une réunion que Vincent Peillon avait organisée à Dijon : « À l’heure où il y a une proposition de loi qui a été déposée pour interdire la fessée, je pense que peut-être il faudrait rétablir la fessée au Parti socialiste pour nous rappeler à la réalité ».
Il est vrai que la pauvre Ségolène, là où elle est tombée (pas certain qu’elle soit élue députée à La Rochelle, et donc la présidence de l’Assemblée nationale qu’elle guigne n’est pas dans la poche), n’en est plus à une fessée près.