Le « danger » des rézoçocio

Publié le par Yves-André Samère

C’est une obsession, les médias ne cessent de nous seriner que les rézoçocio sont dangereux, car ils collectent nos données et les revendent. Pas de danger en ce qui me concerne, car :

- Facebook : je n’y vais pas. Mon seul lien avec cette firme est le site Lectures sans frontières, qui permet de télécharger gratuitement toutes sortes de livres (une douzaine par jour). Aucun de mes proches n’y a créé la moindre page.

- Twitter : je n’y vais pas. J’y ai créé un compte pour renvoyer les curieux vers les notules du présent bloc-notes, mais, par manque de temps et parce que c’est très barbant, je ne m’en suis plus occupé depuis le 19 février.

- Apple : pas client. J’ai en horreur les produits de cette marque, et n’y achète rien.

- Amazon : j’y fais quelques achats, parce que c’est rapide et qu’on y trouve ce qu’on ne trouve pas ailleurs. Essentiellement des livres et des DVD. Si, ensuite, Amazon me propose d’autres livres du même auteur et qu’il m’arrive de me laisser tenter, je ne vois pas en quoi ma vie privée est auscultée.

- Google : je n’utilise que son moteur de recherches, dans tous les azimuts, et mes sujets de recherches sont si divers (sciences, géographie, musique, histoire, littérature, etc.) que bien malin qui en déduira quoi que ce soit sur ce que je pense !

Bien entendu, les seules victimes sont les crétins qui ont créé une page sur Facebook pour y publier leurs photos de vacances ou leurs ébats sentimentaux. Or je ne « pars » jamais en vacances et je ne prends pas de photos de ma petite personne : quand je veux faire des photos, je vais au Louvre. On ne déniche donc rien me concernant sur ce piège à débiles mentaux.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

B
J'apprécie beaucoup votre "rézoçocios" . Qu'y a-t-il de "social" à avoir les yeux rivés à son écran, indifférent aux gens (merci Jean-Luc !) qui vous entourent ?
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Y
En effet ! Ceux qui s’adonnent à cette drogue ne voient pas le monde réel, ils ne connaissent que le minuscule monde de leurs « potes » (un mot que je déteste).