Vacances (un peu) forcées
Je vais m’absenter de ce bloc-notes pour deux jours, car je serai absent de chez moi, et passerai les deux prochains jours à l’Hôpital Cochin, où l’on va me sonder afin de voir si mes intérieurs sont aussi remarquables que mes extérieurs (avec ce vocabulaire, on croirait que je vais tourner un film). Et comme cela nécessite une anesthésie générale, on ne me laissera pas rentrer chez moi avant la fin du délai prévu, après-demain jeudi.
Soulagement : ma pension à l’hôpital sera donc relativement courte.
Je n’emporterai pas d’ordinateur pour écrire, mais seulement un téléphone mobile (pour écouter la radio) et de quoi lire. Juste le strict nécessaire, en somme. Espérons que nous n’aurons pas une nouvelle panne de courant, comme celle qui a privé d’électricité hier après-midi six arrondissements du centre de Paris, pendant vingt-deux minutes. Je prie les acteurs de l’actualité de ne rien faire d’important durant mon absence, leurs activités me manqueraient trop !