Bourde d’une blonde
Dans ma série « Les filles de Canal Plus sont-elles des quiches ou, comme disait Carlier, des “gourdasses” ? », épinglons celle qui présente le journal de 18 heures 45, juste avant l’émission de Denisot. Je ne connais pas non plus l’identité de cette blonde (dans tous les sens du mot), mais il s’en trouvera bien un ou deux, parmi mes millions de lecteurs, qui me fournira ce renseignement que j’ai la flemme de chercher dans la liste interminable des génies de l’audiovisuel.
Bref, chargée de lire, simplement LIRE sur son papier, le nom des invités de Denisot pour la soirée qui commence, elle nous a déniché un « Marc-André Girondin » qui n’a jamais existé que dans sa cervelle de colibri. Tout le monde, en France et au Québec, aura rectifié d’instinct, car ce garçon, Marc-André Grondin, acteur jeune et doué, était la vedette du fameux film C.R.A.Z.Y., que nul n’a oublié. Sauf elle.
J’entends d’ici les grincheux qui vont parler de misogynie. Mais non, je suis très amateur des numéros de Pauline Lefèvre, la fille de la météo. Elle est belle, vive, intelligente, elle a de l’humour, de l’autodérision, se renouvelle sans cesse, et sait doser ses audaces simulées. Il en faudrait vingt comme elle.