Détester Macron le lâche, à juste titre
Je pense l’avoir déjà écrit, j’ai détesté Macron le jour où il s’est cru autorisé à infliger une leçon de morale à un très jeune garçon qui avait eu l’audace, en public, de l’appeler « Manu ». Quel sacrilège ! Ce jour-là, j’ai su qu’humilier coram populo...