Charlatanisme politique

Publié le par Yves-André Samère

Ségolène Royal a une méthode bien au point : elle se pointe quelque part, en général à un endroit où elle n’est pas invitée. Là, elle flanque la pagaille en perturbant une réunion, en coupant les effets du principal intervenant, ou en faisant des déclarations fracassantes. Inévitablement, ceux qu’elle a dérangés lui reprochent son cinéma, et la presse fait chorus.

Or c’est ce qu’elle voulait : cela lui permet, dès lors, de jouer les persécutées, celle qui gêne et à qui tout le monde veut du mal.

Dans ce milieu qui en compte déjà tant, Ségolène Royal est le plus grand charlatan politique depuis Georges Marchais.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :