Mes quatre saisons : le printemps

Publié le par Yves-André Samère

Hier, je vous ai expliqué pourquoi je n’aimais pas l’hiver, et c’est peu dire. Mais alors, me demanderez-vous, et le printemps ?

Eh bien non, le printemps est trompeur et se paie notre tête. D’abord, l’année dernière et surtout cette année, il a bien joué à cache-cache, le printemps : on ne l’a quasiment pas vu du tout.

Et puis, il tend ses propres pièges. Et le principal consiste à répandre dans l’air toutes sortes de saletés, dont la principale est le pollen. Si bien qu’on ne peut plus mettre le nez dehors sans être pris d’éternuements, de toux et de larmoiement au bout de trois minutes.

Résultat : on rentre chez soi, on ferme les fenêtres, on allume une lampe et on se plonge dans un roman policier.

Oui, je sais. Au fond, ce n’est pas si mal, la lecture. Voyez Sarkozy, comme la lecture l’a rendu intelligent.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

Y
Ce doit être Frédéric, à moins qu’il ait changé de sexe, puisque tout est possible.<br /> <br /> Je dois avoir tous les San-Antonio. Mais je ne me contente pas des romans français. Il faut avoir lu les dames anglaises comme Ruth Rendell, ou ce génie islandais, Arnaldur Indridason.
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K
Bravo pour les romans policiers. Pour ma part, je suis parti en wouacances(..) avec un cadeau inestimable. Un ami ayant cassé sa pipe, sa veuve m'a donné environ 20 kilo de chef-d'oeuvres de la<br /> littérature française (pas sûr de lortografe, désolé). Donc, me voici en tête à tête avec une soixantaine de roman de S.A. du regretté Frédérique Dard. Pourvu qu'il pleuve !
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