Nothomb, plagiaire !

Publié le par Yves-André Samère

On sait qu’Amélie Nothomb aime donner, aux personnages féminins de ses livres, des prénoms bizarres. Dans le dernier, Barbe-Bleue, on trouve ainsi Émeline, Mélusine, Albumine, Térébenthine, Digitaline, Séverine.

Eh bien, je regrette, mais madame Nothomb est une plagiaire ! Térébenthine, c’est une autre qui l’a trouvé avant elle, quoique privé de son H : Cécile Duflot, écolo et ministre d’on ne sait plus trop quoi, qui risque d’ailleurs de ne pas le rester longtemps. Elle a en tout cas donné ce prénom à sa fille. Plaignez la malheureuse enfant, qui, certainement, vers les quinze-seize ans, va assassiner sa mère en lui versant de la mort-aux-rats dans sa soupe. D’avance, si je suis juré aux assises, je vote l’acquittement !

(Et la remise de la Légion d’Honneur)

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