Je descends du professeur Tournesol

Journée qui commence relativement bien mais continue mal. Hier après-midi, une femme m’appelle, elle conduit le taxi qui doit me prendre chez moi le lendemain, et précise qu’elle viendra vers neuf et demie. Hélas, ce matin, le chauffeur de taxi m’appelle, c’est un homme, et il est déjà arrivé... avec une heure d’avance ! Je n’ai pas terminé de bourrer deux sacs avec mes affaires, je descends en catastrophe, et, dans la foulée, j’oublie mon téléphone sur ma table.

Vous devinez la suite : la maison de convalescence où j’arrive est très bien, mais... elle n’a pas le wifi. Et sans téléphone mobile, impossible de faire le transfert de connexion que je visais. Me voilà donc totalement coupé du monde pour le restant du mois. Plus de courrier électronique, plus de mise à jour de ce bloc-notes, et même pas de téléphone fixe pour appeler mes amis, puisque je ne connais pas leurs numéros par cœur (j’ai AUSSI laissé mon agenda électronique chez moi).

Total des courses : à peine installé ici, je dois prendre le train pour retourner à Paris ! Maudits soient les gens qui arrivent en avance.

(Et ceux qui sont perpétuellement distraits)