Les « Sœurs d’armes » sont redoutables
Caroline Fourest débute dans le cinéma, en réalisant un film sur les méfaits des terroristes musulmans qui maltraitent les filles, et qui s’intitule Sœurs d’armes, film de guerre qu’elle est venue présenter à Barthès dans « Quotidien », accompagnée par sa vedette féminine, Camélia Jordana. Or, toutes deux ont mentionné un détail de la religion musulmane, que je connaissais déjà et dont j’ai parlé ici un jour. Et ce détail me réjouit par-dessus tout.
Il s’agit de cette trouille que ressentent tous les terroristes islamiques qui, s’ils considèrent comme une fin heureuse de s’être fait sauter grâce à une ceinture d’explosifs – surtout si, en même temps, ils peuvent dézinguer quelques-uns de ces chiens d’infidèles que nous sommes –, en revanche, ils ne craignent qu’une chose, et ce n’est pas que le ciel leur tombe sur la tête, mais plutôt d’être tués par une femme ! En effet, par la grâce de leur prétendu prophète Mohammed, il est reconnu comme vrai que, dans ce cas, ils n’iront pas au paradis. Et ils rateront les soixante-douze vierges qui les y attendent à titre de repos du guerrier.
Aussi, le meilleur moyen de les faire détaler comme dans la célèbre image du capitaine Haddock mettant en fuite une troupe de malfrats dans le désert du Sahara, c’est encore de leur envoyer un commando de filles. Eux aussi, vous les verrez détaler comme des lapins.
On a bien fait d’ouvrir l’armée à des volontaires féminines, elles sont redoutables !