Obsession ministérielle

Publié le par Yves-André Samère

Il est bien mignon, Gabriel Attal, et il a du bagoût. Mais il est atteint d’une maladie grave : il ne peut pas commencer une phrase sans y caser son expression favorite : « le président de la République ». C’est systématique, ça revient automatiquement, et, à ce point, ce n’est plus de la dévotion, ni de l’amour ! C’est de la rage.

Ce garçon est-il conscient de se ridiculiser, ou le fait-il exprès afin de se hisser de quelques degrés dans la courtisanerie et la faveur de Macron – qui est, comme on sait, très client d’être ou de paraître une idole des foules ?

Je vous laisse décider. Moi, je me contente de relever les bizarreries de notre temps. Et je n’ai même pas besoin de chercher, elles se présentent systématiquement à intervalles réguliers. À vrai dire, je devrais être content, je n’ai pas non plus besoin de chercher.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

K
On en viendrait à regretter Sibeth !
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Y
Je ne la regrette certes pas. Elle est sibeth !