Je dis, mais je ne fais pas

Publié le par Yves-André Samère

La meilleure preuve, s’il en fallait une, que Sarkozy est imperméable aux leçons que le peuple lui donne, qu’il dit n’importe quoi et promet tout ce qu’on voudra sans jamais songer à tenir ses promesses, c’est qu’hier, il a accepté de siéger au Conseil Constitutionnel (on comprend ça, la paye est bonne, et le travail, pas écrasant).

Or n’avait-il pas juré ses grands dieux que désormais il ne se mêlerait plus de politique et qu’on n’entendrait plus parler de lui ? C’est réussi.

(Je n’ai entendu aucun commentateur relever cette contradiction)

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