Gare aux perdreaux !

Publié le par Yves-André Samère

On a su récemment qu’un jeune homme avait été poursuivi par la police (ou les gendarmes, je ne sais plus et peu importe) pour avoir chanté Le gorille, de Brassens, en la présence de quelques perdreaux. Ces rivalités animales, c’est terrible. Et, ce matin, le verdict est tombé : il s’est trouvé un tribunal pour condamner le criminel à une amende de cent euros  et quelques heures de travaux d’intérêt général.

Or, quelques plaisantins ont voulu faire chorus, et c’est tout une bande de malandrins qui a renouvelé l’exploit. Mais les mêmes causes produisant scientifiquement les mêmes effets, eux aussi ont écopé d’une condamnation identique.

Les p’tits gars, cessez de vous obstiner bêtement, j’ai la solution. La voici. Postez-vous devant un commissariat ou une gendarmerie, si possible avec une ou deux guitares, et fredonnez en chœur le refrain de tonton Georges. Oubliez les paroles. Si on ose encore vous poursuivre, le pays entier s’esclaffera, en se souvenant de cette bigote qui était allée se plaindre à son curé de ce qu’un gamin avait sifflé devant elle une chanson obscène.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

D
<br /> "on dit même qu'elles lui auraient coupé les choses,<br /> mais par bonheur ils n'en avaient pas".<br /> Diffusé ce matin sur France Inter, en conclusion de cette histoire...<br /> <br /> <br />
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